* Le château de Duras

Arrivée par la majestueuse cour d’honneur.
Cour d'honneur (photo Claire C.-H.)
La visite du château de Duras peut se concevoir comme un jeu de piste en suivant le balisage de couleurs puis les salles numérotées à l’intérieur de chaque zone de couleur. Sans le plan, il est sans doute possible de se perdre.

  • Dans la cuisine, vous découvrirez un menu d’autrefois, mettant à l’honneur le pruneau d’Agen  ;
  • Dans la salle des jeux, les enfants pourront tester les quilles et la potence ;
  • Dans la salle aux secrets, deux enfants placés dans un coin opposé, se confieront un secret que les parents placés au milieu de la salle, n’entendront pas ;
  • Le puits vous fera frémir de par sa profondeur.
  • Les téméraires monteront à la tour par un escalier étroit et sombre mais qui dévoilera son panorama
  • Dans la grande salle avec sa charpente en forme de vaisseau inversé, les enfants compteront le nombre de cheminées tandis que les grands visiteront l’exposition ; on y logeait de nombreux convives les jours de festivités ;
  • La salle des trois maréchaux se loue pour les mariages, de quoi jouer aux chatelains le plus beau jour de sa vie ;
  • Le musée rassemble les outils des métiers d’autrefois dans la région d’Aquitaine ;
  • … et pour terminer, la dégustation des vins de Duras incluse avec le prix d’entrée !


Son : Greensleeves, James Galway

La bastide d’Eymet

Le terme “bastide” désigne les “villes neuves” qui ont été fondées pour le compte des rois de France ou d’Angleterre durant la période 1150-1350 dans le Sud-Ouest de la France. Celle d’Eymet a été instituée le 28 juin 1270 par Alphonse de Poitiers, comte de Toulouse et frère de Louis IX. En 1279, Philippe le Hardi doit la rendre au roi d’Angleterre. Elle est bâtie sur un plan géométrique ; les îlots sont divisés en parcelles et distribués aux habitants qui doivent construire leur maison dans un délai fixé par les fondateurs.

De façon à visiter les 13 points d’intérêt de la bastide d’Eymet, je vous propose un parcours  à effectuer dans l’ordre ; l’office du tourisme vous remettra un plan et un livret jeu par enfant ; le pont de Bretou (13), inclus dans la marche, est également accessible en voiture.

Une autre manière de découvrir la ville, pour les geocacheurs, la ballade à Eymet, cympaf ; elle est en maintenance jusqu’en septembre 2015.

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Visite de Saint-Emilion

Du haut du clocher de l’église monolithe, accessible après avoir pris la clé à l’office du tourisme et monté 196 marches, tout le village médiéval de Saint-Emilion est à vos pieds. Sous le clocher, et entièrement creusée à l’intérieur du plateau calcaire en un seul bloc, l’église monolithe (du grec ancien mono, signifiant unique et lithos, pierre) fut creusée entre la fin du XIème et le début du XIIème siècle. Ses proportions gigantesques font d’elle, l’église monolithe la plus vaste d’Europe. Saint-Emilion tourisme

Montage du haut du clocher
Saint-Emilion du haut du clocher

Ceux qui empruntent le long et dangereux tertre de la Tente, à peine sécurisé par une rambarde centrale, ont manifestement quelques inquiétudes ; rien à voir avec le petit monticule de terre ; c’est un terme spécifique à Saint-Emilion et qui désigne une ruelle piétonnière en pente et au pavage chaotique.

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